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L'Oustal

Présentation :

Né de la volonté de l’Amicalisme Aveyronnais, cet immeuble est destiné à rassembler en un lieu commun les espaces nécessaires aux activités des 300.000 Aveyronnais de Paris et tous les Aveyronnais d’Ici et d’Ailleurs. C’est un lien supplémentaire entre tout le mouvement amicaliste aveyronnais de par le monde, Paris et le département.
Construit à l’Initiative de la FNAA, il a été financé uniquement par l’épargne des Aveyronnais d’Aveyron et d’Ailleurs sans argent public.

La première pierre de l’Oustal a été posée le 23 décembre 1993, en présence de M. Jacques Chirac, maire de Paris, Jean Puech, ministre de l (...) Lire la suite >

Marché des Pays de l'Aveyron

Le département de l’Aveyron est riche d’un grand nombre d’entreprises familiales, artisanales ou industrielles concevant et fabriquant des produits de haute qualité. Le Marché des Pays de l’Aveyron se veut être une vitrine de la technicité de ces artisans et producteurs du département. Au cours de cette manifestation, ils viennent faire partager au public leurs passions, traditions et savoir-faire.

A l'initiative de  Fédération Nationale des Amicales Aveyronnaises,   l’association des Producteurs de Pays et la Chambre d’Agriculture de l’Aveyron,  le Marché des Pays de l’Aveyron se ve (...) Lire la suite >

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Événement | 09-02-2017

Soirée Diner-Conférence proposée par la commission Culture: "Les "Gueules cassées" de la Grande Guerre"

Près de 1,4 millions de poilus sont morts lors de la Grande Guerre. Qui connaît le nombre de militaires français blessés avec de lourdes séquelles lors de ce conflit ?

C’est environ 4,3 millions de militaires français qui ont été blessés lors de la Première guerre mondiale, avec des symptômes de gravités variables, et plus de 21 millions pour l’ensemble des belligérants. Au-delà de l’étendue géographique des pays engagés, ce fut l’apparition des armes modernes et l’inadaptation des tactiques militaires qui marquèrent ces batailles.

A la fin de la guerre, environ 300 000 militaires étaient blessés au visage et défigurés, de nombreux autres avaient perdus un membre ou souffraient de divers troubles physiques ou mentaux. L’utilisation de mitrailleuses, de tanks, d’avions, de gaz, de bombardements intensifs (plus de 300 millions d’obus ont été tirés) a laissé des traces sur les corps.

Les balbutiements de la psychologie freudienne et le développement de la chirurgie réparatrice aidèrent certains mais hors les services de santé militaires, les moyens et lieux ne furent pas suffisants.

Au travers du destin de ces « gueules cassées », cette conférence vous fera revivre cette époque et participera au devoir de mémoire.

Après des études d’histoire, Sandrine Heiser, notre conférencière, intègre l’Ecole des Chartes et s’intéresse aux technologies numériques. Responsable du Centre des Archives de l'occupation française en Allemagne et en Autriche, géré par la Direction des archives du Ministère des affaires étrangères, elle est ensuite détachée au Service historique de l'armée de Terre avant de réintégrer les Archives Nationales en tant qu’Adjointe scientifique auprès du délégué aux Commémorations nationales et enfin conservateur en charge du projet ADAMANT (qui a pour objectif, à terme, d'adapter les outils, les procédures et l'organisation de la chaîne archivistique pour répondre aux enjeux numériques actuels).

Cette conférence se tiendra le 23 mars à 19h00 à l’École Militaire. Pour des raisons de sécurité vous devrez impérativement respecter les horaires et fournir les renseignements nécessaires lors de votre inscription.

Merci de renvoyer votre bulletin d'inscription avant le lundi 13 mars à l'adresse indiquée.