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L'Oustal

Présentation :

Né de la volonté de l’Amicalisme Aveyronnais, cet immeuble est destiné à rassembler en un lieu commun les espaces nécessaires aux activités des 300.000 Aveyronnais de Paris et tous les Aveyronnais d’Ici et d’Ailleurs. C’est un lien supplémentaire entre tout le mouvement amicaliste aveyronnais de par le monde, Paris et le département.
Construit à l’Initiative de la FNAA, il a été financé uniquement par l’épargne des Aveyronnais d’Aveyron et d’Ailleurs sans argent public.

La première pierre de l’Oustal a été posée le 23 décembre 1993, en présence de M. Jacques Chirac, maire de Paris, Jean Puech, ministre de l (...) Lire la suite >

Marché des Pays de l'Aveyron

Le département de l’Aveyron est riche d’un grand nombre d’entreprises familiales, artisanales ou industrielles concevant et fabriquant des produits de haute qualité. Le Marché des Pays de l’Aveyron se veut être une vitrine de la technicité de ces artisans et producteurs du département. Au cours de cette manifestation, ils viennent faire partager au public leurs passions, traditions et savoir-faire.

A l'initiative de  Fédération Nationale des Amicales Aveyronnaises,   l’association des Producteurs de Pays et la Chambre d’Agriculture de l’Aveyron,  le Marché des Pays de l’Aveyron se ve (...) Lire la suite >

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Actualité | 02-02-2023

Visite pastorale de Mgr Meyer à la CCAP et au Foyer de la cité des Fleurs

Compte rendu de la visite pastorale de Monseigneur MEYER à la Communauté Chrétienne Aveyronnaise de Paris et au FJT de la Cité des Fleurs

Le samedi 14 janvier 2023

 

Monseigneur Luc Meyer, nouvel évêque de Rodez et de Vabres, est venu rencontrer pour la première fois le conseil d’administration de la Communauté Chrétienne Aveyronnaise de Paris. 

A cette occasion, nous lui avons fait visiter le Foyer des Jeunes Travailleurs de la Cité des Fleurs en compagnie de Gérard Paloc, président du Foyer, Laetitia Cousin, collaboratrice de Mme Benet Chambellan, directrice, et Marie Bayol, résidente aveyronnaise. Il a pris le temps d’apprécier l’ensemble des locaux, les chambres, bien sûr, mais aussi les  espaces partagés :  le Cantou, le coin petit-déjeuner, le restaurant, la laverie, la salle de gym (très bien équipée) ou encore la chapelle.

Gérard Paloc a retracé l’histoire du foyer, de sa construction à nos jours, sa gestion par l’association, sa rénovation… Il a aussi évoqué la nécessité du restaurant présent sur place. L’équilibre financier est atteint grâce à la location de salles à des sociétés extérieures.

 Laetitia a expliqué le fonctionnement de la structure, le nombre d’employés, leurs fonctions, le règlement intérieur, les services fournis aux jeunes et les animations qui leur sont proposées.

Marie a expliqué comment elle avait connu l’existence du foyer et nous a fait partager ses impressions sur sa vie dans ce lieu. Bien qu’ayant vécu seule dans un appartement de location, elle y apprécie le partage avec les autres, les animations et l’ambiance agréable qui y règne. 

Monseigneur Meyer s’est montré extrêmement intéressé par ces interventions, a pris des notes et a posé beaucoup de questions.

Nous lui avons expliqué comment, n’étant pas sur place au moment où les jeunes y séjournent, il nous est très difficile de les rencontrer et d’établir de vraies relations avec eux. Nous ne pouvons donc les amener à fréquenter nos évènements comme la journée familiale ou encore moins la récollection. Nous nous sentons très démunis.

Monseigneur Meyer a enregistré toutes nos réflexions. Il se sent très concerné par le foyer qui, bien que laïque, peut avoir une « aumônerie », comme les établissements d’enseignement privés. Tout ce qui a été vécu au foyer par le passé est une base forte, avec ses traditions qu’il faut conserver, mais en les adaptant à la société actuelle, afin de répondre aux attentes des jeunes du 21ème siècle.

Il va donc rencontrer les évêques de Mende et de Saint-Flour, rapidement, début mars, pour réfléchir à l’avenir chrétien du foyer. Il envisage de créer une commission avec des membres de l’association, des paroisses, des travailleurs sociaux et des résidents pour travailler sérieusement sur ce projet ambitieux et difficile.

La rencontre, très fructueuse pour tous, s’est terminée par le partage de l’apéritif.

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